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Oh! Grand petit homme
Raoni, de son vrai nom Ropni Metuktire, est un indien d'Amazonie. Il est en visite en Europe pour alerter le monde sur un projet de barrage de Belo Monte sur le Rio Xingu qui inondera 500 km2 de forêt en Amazonie, et occasionnera le déplacement d'au moins 20.000 personnes. Il ne comprend pas que l'on détruise la forêt qui brasse et purifie l'air. Il dit qu'en coupant l'arbre, on tue aussi l'hombre qui protège l'homme du soleil. (C'est une métaphore. Il parle de la couche d'ozone) Pauvre grand petit homme, je crois que t'on appel restera sans écho. Vois le monde tel qu'il est devenu. Les hommes ont d'autres soucis en tête. Enfin, avec ton look, tu feras certainement la une des journaux une journée ou deux, puis, quand tu auras fait gagné suffisamment d'argent à tous ceux qui t'exhibent, on te renverra bien gentiment chez toi dans le premier avion. Ton destin est déjà fixé, tu finiras comme les Arawaks ou les Caraïbes, peuples premiers: dans l'oubli. Quand je te vois, tu me rappelles les mémoires d'autrefois. On appelait mémoire les détenteurs de la connaissance. On aurait pu les appeler savants, mais il serait vaniteux de prétendre savoir. On ne pouvait pas n'on plus les appeler sorciers, car ils ne jetaient pas de sort, ni chaman non plus, car ils n'étaient pas animistes. Ces mémoires étaient les guides, un peu comme le furent les druides et les ovates par la suite. Cela ce passait dans tout le pays des géants. Car dans les vieilles traditions, on pensait que des géants soutenaient la terre au dessus des flots, ainsi que le ciel au dessus des têtes. Tu me rappelles les mémoires car ils étaient habillés comme toi. Ils avaient également, comme toi, un entrelacs de cordelettes savamment noués autour du cou qui les aidaient à se rappeler toutes leurs recettes et formules magiques. Oh! Grand petit homme, ton destin est déjà scellé. Tu finiras, comme les Korrigans, dans les livres qui font rêver.
Alconick le korrigan

 

 

 

 

Les Bleus vont aux buts
Les Bleus s'entraînent ardemment avant de s'envoler vers l'Afrique du sud. Ils jouissent d'une renommée internationale, et leurs talents les mèneront, il faut le croire, à la victoire finale. Puisque Domenech arrête à la fin du mondial, pourquoi ne pas le remplacer par une entraîneuse, cela motiverait d'avantage les troupes

 

Aujourd'hui, pas de presse régionale dans les kiosques. Je ne sais pas si c'est une grève nationale. Enfin! Il faut faire avec, et apprendre à s'en passer. Hier, c'était les trains, demain ce sera peut être un jour sans alcool et sans savon.

 

 

Ce phénomène volcanique est surprenant par l’ampleur des désagréments qu’il occasionne, et tous ces aéroports bloqués. Je ne sais pas pourquoi, mais dés que l’on essaye de me rassurer, j’éprouve un certain sentiment de malaise, et je m’inquiète davantage. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai maintenant du mal à accorder ma confiance si facilement. Je me souviens, lors de la catastrophe de Tchernobyl, entendre les spécialistes et les politiques nous assurer que le nuage radioactif contournerait la France. En réalité, ce n’était pas vrai. Aujourd’hui, un simple volcan bloque tous les aéroports de l’Europe du nord, et les médias et les politiques tentent de nous rassurer, alors qu’avant leurs interventions, nous n’étions pas le moins du monde inquiet.

 

C’est peut être la solution qu’a trouver le ministère de la santé pour refourguer tout le stock de masques achetés lors de la pandémie de grippe A. Non, je plaisante! Et vous, qu’en pensez-vous…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous étiez fatigué, maintenant vous allez pouvoir vous reposer pour l'éternité

 

Les salariés Poly sont gonflés à bloc… Ça va finir par péter

En France, les petites mains de l’usine Poly qui vivaient de leurs jolis seins depuis de nombreuses années, ont été virées après l’arrêt de leur petite activité, en Iran, les travailleuses de Pipe n’ont pas été rémunérées de leur dur labeur depuis plus d’un an. Comme quoi les petits métiers manuels se perdent

Quelle belle époque que la notre! On fusionnent les ASSEDICS et l’ANPE, on suppriment par la même occasion des emplois qualifiés dans ces deux services, que l’on remplace avec parcimonie ( par pur nécessité ) par des débutants inexpérimentés en contrat CDD, au moment même où la courbe des demandeurs d’emplois grimpe des sommets himalayens. Demain, avec l’arrivée des sexagénaires dans les agences de l’emploi, que pense faire le gouvernement, fusionner pôle emploi avec les bistros du cœur et les services sociaux et les installer dans les stades

Nous sommes un pays riche…ruiné, d’accord, mais riche. Enfin on peut toujours le croire. C’est en tout cas ce que nos politiques nous disent. Non seulement les caisses sont vides, mais en plus, nous sommes super endettés: 1600 milliards d’Euros de dettes, et en plus, on continue d’emprunter. En outre, je crois savoir que la France est l’un des pays où on paye le plus d’impôts, de taxes et autres, heureusement, sinon alors quelle serait notre situation économique. Nous sommes riches mais nous ne roulons pas sur l’or, enfin, pour la quasi totalité des Français. Pour indemniser les victimes de la tempête xynthia, on parle de débloquer le fond Barnier, sauf que là aussi, la caisse est vide. Je me demande qui prend de pareille décision, mais surtout qui ose le déclarer d’un air badin à la population. Pour en revenir aux retraites, la situation est là aussi anxiogène, car elle est catastrophique. Il n’y a pas d’argent, et l’on parle déjà de faire travailler les gens dix ans de plus pour au final avoir une pension de misère. Il n’y a déjà pas de travail pour les quadras, alors vouloir faire travailler des sexagénaires est de la pure utopie politicienne. À moins d’obliger les entreprises à les embaucher, comme pour les personnes handicapées. Sauf que là aussi, cela n’a jamais vraiment marché. Quand on nous promet la lune, on nous refile au mieux une poignée de sable, alors quand on nous promet la misère, on peut vraiment s’attendre au pire.

Entre la réhabilitation d'un évêque négationniste et l'excommunication d'une fillette de neuf ans, violée et mise enceinte par son beau-père. Voilà toutes ces affaires de pédophilie dégorger sur la place publique. En dépit de l’extrême gravité des faits, c’est la façon dont l’église se défend qui est ’’outrageuse’’. En tout les cas, les propos tenus par les portes paroles de l’église sont pour le moins déplacés. Assimiler l’antisémitisme à la recherche de la vérité et des responsables des actes pédophiles est pour le moins surprenant. Dire que l’homosexualité tend vers la pédophilie c’est aussi une construction intellectuelle qui montre bien que ceux qui prêchent cela ont un problème avec la réalité. Dire aussi que la pédophilie se retrouve dans toutes les corporations, mais surtout au sein même des familles est un peu réducteur comme moyen de défense. Parce que l’Église devrait être le parangon de vertu, de pureté, d’intégrité, le chantre de la morale, et des valeurs, toutes ces affaires sont nauséeuses. Enfin, j’observe que tous ces portes paroles, qui devraient exceller dans leur art ne font qu’envenimer les choses. Alconick le korrigan

 

Je suis stupéfait d’entendre toutes ces affaires liées aux ‘‘dérives’’ de l’église Catholique.

 

Ce n'est qu'une prière
Hier mourante, aujourd'hui je renais. Oh! Dieu argent, toi qui n'as d'yeux que pour moi, bénis ces bienfaiteurs qui oeuvrent pour renflouer mon petit bas de laine.
Travaille! Travaille! Travaille! Toi qui est si fort, aussi fort qu'un bœuf, comme si tu avais été créé juste pour cela.
Travaille! Travaille! Travaille! Car tu sais, je le vaux bien, et puis, cela te donne tellement de joie, ce sentiment de servir enfin à quelque chose
Travaille! Travaille! Travaille! Chez toi il fait si froid, qu'il n'y a rien d'autre de mieux à faire, ici, il fait si beau, que cela serait blasphème.
Travaille! Travaille: travaille: tu as toute ta vie pour le faire, et puis, rasures toi, quand tu seras trop vieux pour me servir, derrière toi, tes enfants reprendront ton combat.
Travaille! Travaille! Travaille! Tu peux me faire confiance, tu me connais si bien, et tu m'aimes comme cela. Tu aimes mes salades qui scintille sous l'huile d'olive, et mon fromage de lait de brebis.
Travaille! Travaille! Travaille! Tu sais que je te mens, et que je te mentirais toujours, mais tu aimes m'écouter, toi qui n'as comme seul horizon, que la toiture de tuiles grises de ton usine.
Travaille! Travaille! Travaille! Le soleil brille pour tout le monde, et particulièrement pour moi.
Travaille! Travaille! Travaille! C'est ta seule destinée, et dépêches toi avant que la nuit ne recouvre ton drap

 

 

 

  Hommes
Je t'avais pensé, et tu as été. Je t'avais conçu les deux pieds ancrés sur la matière, et la tête pointée vers les étoiles, d'où tu es né. Je t'avais installé dans ce jardin, et t'en avais donné les clés. Je t'avais offert deux biens inestimables, ma chair qui est la vie, et la conscience d'exister. De toutes mes créations, tu étais la seule à avoir cette conscience d'être aussi aiguisée. Je pensais qu'en te donnant cette sensation d'exister, tu te rapprocherais d'avantage de moi. Mais loin de vouloir me ressembler, tu as voulu en permanence m‘imiter. Regarde le résultat, en te prenant pour moi, tu as fait exactement le contraire. Tu vois l'état du jardin dont tu avais la charge. Dans tout l'univers, il n'y pas d'autre richesse que la vie. Tu en es porteur, et je pensais que tu l'entretiendrais et la défendrais. La vie, est cette arborescence sur laquelle l'esprit vient se greffer, fleurir, et s'épanouir. Tu aurais dû t'occuper d'avantage de ce jardin unique qui est le tien. La vie, pour quelle reste éternelle, doit se repaître d'elle-même au quotidien, c'est pour cela que je t'es fait mortel. Mais si tu es mortel, ne tue pas la vie qui est en toi, car il te faudra faire un long voyage pour retrouver une autre terre aussi favorable pour t'accueillir

 

 

 

Le poids des mots le choc des images
Comme me disait mon pote Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois. Et comme la vitesse de la lumière va plus vite que celle du son, l'information visuelle me parvient avant les commentaires. Quand la première dame de France (là aussi, c'est un terme que j'adore dans ma république qui a inscrit au fronton de ses institutions le mot égalité. S'il y a une première dame de France, dites moi donc qui est la dernière, c'est peut être votre mère.) Quand la première dame de la France républicaine fait la génuflexion devant la reine d'Angleterre, je me dis que ce n'est qu'un signe de nostalgie de la vieille France. Quand le président d'une France laïc s'incline devant le pape, je me dis que ce n'est que la réminiscence d'une France construite sur des traditions judéo-chrétienne. Je ne sais pas si vous avez remarquez, mais chaque geste de nos politiques a un sens. Quand deux chefs d'états se rencontrent officiellement, c'est le rite des échanges de poignées de mains devant les photographes. Ensuite, irrésistiblement c'est le jeu du chat. Chacun des dirigeants, éprouve le besoin d'apposer une accolade à son homologue, comme si le dernier touché était l'inféodé de l'autre. Bon, là aussi cela ne me dérange pas trop. Mais quand le président des États-Unis pose longuement sa main ostensiblement sur l'épaule de mon président, je vois bien là qui est le chef, et qui est son commis. Ça m'irrite, mais ce n'est pas le pire. J'ai vu hier, le président de la république Française rencontrer son' 'homologue '' chinois. (C'est-ce que j'ai entendu comme commentaire à la télévision. Je ne sais pas s'il y a un président en Chine, bon, ce n'est pas important.) Quand le président Français s'est approché du dirigeant chinois, j'ai tout de suite ressenti comme un malaise. Le président Français s'est approché du dirigent chinois, qui lui, stoïque, restait immobile, comme une statue de jade. Le président Français avançait la tête baissée, le sourire crispé, révérencieux, comme s'il rencontrait Dieu en personne. Là, je me suis dis qu'on changeait d'ère. Après l'ère du poisson, on rentrait dans celle du verseau, à moins que ce ne soit celle du serpentaire.
Alconick le korrigan

 

Les banquiers continuent

Quel beau métier, on visite le monde entier. Là, c’est mieux que Disneyland. Au début, je croyais qu’il était en Argentine, et qu’il dansait le tango: deux pas en avant, trois pas en arrière. Mais peu importe, l’important c’est de participer. Moi, demain je rachète une paire de mocassin made in Taiwan, heu ! Non, Chinoise.

 

 

 

La bulle économique Européenne se fissure

 

 

 

 

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